mardi 25 décembre 2012
samedi 22 décembre 2012
jeudi 20 décembre 2012
Tombe la pluie
Espérons que le père Noël n'oublie pas son ciré Cotten pour faire sa tournée, sinon il risque de rentrer rincer à la maison.
Il pleut le matin, l'apres midi, ma nuit je vous raconte pas ....
Bref çà monte, la rivière atteint son seuil de 2 m à Ty Nadan on se rapproche des zones à risques pour les Quimperlois.
C'est pas forcément une super nouvelle pour la fraie du saumon, d'une part aucune observation n'est possible avec cette eau chargée , et de 2, les sédiments entrainés par cette pluie qui tombe sur les champs à nus ne sont pas forcément propices aux frayères.
çà déborde, l'Inam n'a pas commencé sa décrue encore, çà monte toujours à Loge Coucou.
On risque d'atteindre le pic de crue à la marée haute dans la nuit, les prévisionnistes Quimperlois sont un peu optimistes sur le coup , à la marée basse l'eau arrivait déjà sur les barrières anti crues, les rivières étant encore en phase de montée, à la marée haute on risque d'avoir quelques débordements.
Pour ceux que çà intéresse, le rapport officiel suite aux crues phénoménales de l'hiver 2000 en Bretagne :
http://www.ladocumentationfrancaise.fr/var/storage/rapports-publics/014000571/0000.pdf
Quelques extraits :
Une question récurrente est celle de la place prise dans l'agriculture bretonne par le
maïs qui est la principale culture à risque pour l'eau.
· les surfaces cultivées en maïs ont très fortement augmenté, passant de
90.000 ha en 1970 à 487.000 ha en 1993, pour diminuer un peu par la suite
(428.000 ha en 1999).
Depuis, quelles mesures ont été prises ?, les barrières anti crues en ville, qui sont efficaces.
quelques enrochements enlevés , un clapet mobile .
Mais les problèmes de fond n'ont pas été abordés, Les pratiques agricoles évoluent peu ou pas , la couverture hivernale des champs n'est pas respectée, les talus disparaissent toujours.
Bizarrement, la seule mesure qui n'était pas évoquée dans cette étude, est celle qui semble avoir le plus séduit les élus, de nouvelles retenues pour ralentir la montée des eaux et pourtant ce rapport précisait bien que :
S'agissant de nouveaux ouvrages, la mission reste réservée compte des coûts
financiers et environnementaux d'une efficacité souvent réduite d'une part, du
nécessaire respect de l'horloge des crues sur les grands bassins d'autre part.
Bref, le problème de fond reste entier pour encore des années.
Il pleut le matin, l'apres midi, ma nuit je vous raconte pas ....
Bref çà monte, la rivière atteint son seuil de 2 m à Ty Nadan on se rapproche des zones à risques pour les Quimperlois.
C'est pas forcément une super nouvelle pour la fraie du saumon, d'une part aucune observation n'est possible avec cette eau chargée , et de 2, les sédiments entrainés par cette pluie qui tombe sur les champs à nus ne sont pas forcément propices aux frayères.
çà déborde, l'Inam n'a pas commencé sa décrue encore, çà monte toujours à Loge Coucou.
On risque d'atteindre le pic de crue à la marée haute dans la nuit, les prévisionnistes Quimperlois sont un peu optimistes sur le coup , à la marée basse l'eau arrivait déjà sur les barrières anti crues, les rivières étant encore en phase de montée, à la marée haute on risque d'avoir quelques débordements.
Pour ceux que çà intéresse, le rapport officiel suite aux crues phénoménales de l'hiver 2000 en Bretagne :
http://www.ladocumentationfrancaise.fr/var/storage/rapports-publics/014000571/0000.pdf
Quelques extraits :
Une question récurrente est celle de la place prise dans l'agriculture bretonne par le
maïs qui est la principale culture à risque pour l'eau.
Trois facteurs d'aggravation des dégâts lui sont imputés :
· la diminution des prairies au profit des grandes cultures, notamment celle
du maïs qui laisse le sol nu en hiver.
· le drainage des terres agricoles, en particulier des fonds de vallée ;
· l'arrachage des haies et l'arasement des talus, le plus souvent assimilés
au remembrement.
90.000 ha en 1970 à 487.000 ha en 1993, pour diminuer un peu par la suite
(428.000 ha en 1999).
quelques enrochements enlevés , un clapet mobile .
Mais les problèmes de fond n'ont pas été abordés, Les pratiques agricoles évoluent peu ou pas , la couverture hivernale des champs n'est pas respectée, les talus disparaissent toujours.
Bizarrement, la seule mesure qui n'était pas évoquée dans cette étude, est celle qui semble avoir le plus séduit les élus, de nouvelles retenues pour ralentir la montée des eaux et pourtant ce rapport précisait bien que :
S'agissant de nouveaux ouvrages, la mission reste réservée compte des coûts
financiers et environnementaux d'une efficacité souvent réduite d'une part, du
nécessaire respect de l'horloge des crues sur les grands bassins d'autre part.
Bref, le problème de fond reste entier pour encore des années.
jeudi 13 décembre 2012
Alerte houle et crue
On attend ce WE, à partir de vendredi mais le pic est prévu samedi de la forte houle (6 mètres) associée à un bon vent d'ouest (+ de 60 km/h) et de forts coefficients de marée (+100).
Le cocktail est réuni pour des submersions sur la côte , la Laïta sera à surveiller également, bien que les niveaux des rivières soient assez bas .
Il semble que des pluies très fortes se soient abattues sur le haut du bassin, les rivières montent en flèche. Inam +1.20m toujours en cours.
L'arrivée de ces pluies sur les champs de maïs mis à nu amplifie le phénomène. Malgré toutes les belles intentions , les couverts hivernaux sont peu,pas ou mal respectés dans beaucoup de secteurs. Vivement les barrages qu'on ne parle plus de ces phénomènes ... (second degré bien entendu)
Il semble que des pluies très fortes se soient abattues sur le haut du bassin, les rivières montent en flèche. Inam +1.20m toujours en cours.
L'arrivée de ces pluies sur les champs de maïs mis à nu amplifie le phénomène. Malgré toutes les belles intentions , les couverts hivernaux sont peu,pas ou mal respectés dans beaucoup de secteurs. Vivement les barrages qu'on ne parle plus de ces phénomènes ... (second degré bien entendu)
mardi 11 décembre 2012
Les bienfaits de l'hydroélectricité
On constate chaque année les dégâts de l'usine du pont rouge sur l'Aër, exploitée par les Forces Hydraulique de la Meuse (FHYM), qui ferme l'accès aux saumons des meilleures frayères du bassin de l'Ellé.
Tout çà pour une production d'électricité dérisoire.
Energie verte disent-ils !!!
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