jeudi 28 juillet 2011

mercredi 27 juillet 2011

18 sangliers de plus retrouvés morts au niveau de l'estuaire du Gouessant.

Morieux et Hillion. 18 cadavres de sangliers découverts aujourd'hui

La thèse du suicide collectif des sangliers est retenue, les bêtes déprimées par le sort fait à leurs cousins domestiques se jettent dans la vase d'algues vertes pour médiatiser leur combat.
Médiatisation réussie s'il en est ...
D'après les autorités locales il faut être prudent, comme il fallait être prudent après les chiens , le cheval et le pauvre ramasseur d'algues ....
touti va bene !

Allez pas de panique :
les chinois ont trouvé la solution "Made in China"

Aux dernières nouvelles il semble que la théorie du suicide collectif ait du plomb dans l'aile :
Sangliers morts dans le Gouessant. Des taux de plus de 500 ppm d'hydrogène sulfuré

mercredi 20 juillet 2011

Je me fait le relais ici d'observations d'un pecheur à la mouche qui a croisé Dame Loutre par 2 fois au mois de juillet en soirée.
La première rencontre s'est déroulé alors qu'il pechait en wading au milieu de la rivière , la loutre qui descendait en prospectant lui est passé à quelques centimètres.
La loutre est souvent peu méfiante lorsque l'on est au mileu de la rivière, en restant immobile bs.
La seconde observation est plus rare, en effet il a pu observer pendant plusieurs minutes une loutre chassant de jeunes canards faisant un barouf terrible dans la rivière.
Sa chasse fut vaine ....
Et ce n'était pas un vison comme il pensait de prime abord.

C'est très réjouissant de constater que les observations de loutres semblent etre de + en + nombreuses.

mardi 19 juillet 2011

mardi 12 juillet 2011

Les ouvrages de ralentissement de crue au menu du SAGE ...

Ci joint un extrait d'un article pris sur le site d'eaux et rivières qui explique clairement les enjeux.

http://www.eau-et-rivieres.asso.fr/index.php?90/636

29 - Ellé Isole Laïta, si on vivait avec !
Après la validation du SAGE, les études sur différents thèmes sont parties tous azimuts pour mettre en
oeuvre les actions retenues par la CLE. Ainsi, le bureau d'études Sogreah vient de présenter une étude sur le ralentissement dynamique des crues au groupe de travail « inondations », sujet sensible s’il en est dans la ville de Quimperlé. Mais, alors que la fiche action du SAGE privilégiait les actions « douces », le bureau propose la mise en place de plusieurs remblais transversaux en lit majeur, d’une longueur de 60 à 300 m (selon les sites potentiels) et jusqu'à 5 m de hauteur. Ces ouvrages doivent écrêter le débit des cours d’eau afin de retenir un volume de 10 millions de m3 d’eau soit le volume nécessaire pour protéger la ville d’une crue décennale. Ce choix semble contestable vu le coût du projet, 30 millions d’euros, l’impact écologique et paysager. La collectivité a déjà dépensé 5 millions d’euros pour des travaux de curage, la démolition/ reconstruction d’un pont du XVIe et l’installation d’un clapet mobile qui sont aussi censés protéger les habitations d’une crue décennale (voire centennale selon certains optimistes !) ? La dépense est-elle justifiée au regard des dégâts occasionnés par une crue décennale ? Les associations peinent malheureusement à obtenir une discussion sur le fond au sein du groupe de travail. JLLD



Une illustration de ce que peut etre un tel ouvrage. Sachant que sur l'Ellé les débits au moment de la crue de 2000 était environ le double de ceux connus à Quimper (+ de 300 M3/s contre 180 M3/s) :
http://www.quimper.maville.com/actu/actudet_-Quatre-ouvrages-a-etudier-en-amont-de-Quimper-_loc-1387069_actu.Htm?xtor=RSS-4&utm_source=RSS_MVI_quimper&utm_medium=RSS&utm_campaign=RSS_LB